De retour après de longues et frugales vacances, j'ai de l'origami plein les cartons et notamment "à cause" de la convention espagnole. J'en parle sur le forum francophone.
Parmi les invités de cette convention, le franco-germano-belge Gachepapier, un de mes acolytes blogueurs que je connais virtuellement depuis bien longtemps. J'ai assisté à 3 de ses ateliers, et j'ai bien fais car j'en garde des modèles de qualité.
Le modèle qui me restera à l'esprit est sans nul doute son masque. Parce qu'il est simple, didactique. C'est un excellent exercice de créativité et d'expérimentations techniques de pliage sculptural. Une base simple à retenir, puis une longue étape de chipotage libre.
Ce n'est pas un modèle à plier une fois, mais un modèle à plier en série, pour obtenir une variété de visages et d'expressions différentes, pour ajouter ou enlever des détails : barbes, cheveux, col de chemise, tout ce que vous voulez.
Ce masque est mon deuxième essai. Le premier a finit à la poubelle, le troisième était trop ambitieux et pas assez convaincant. Mais je continuerai à m'entrainer sur le bête, c'est sûr !
Un gros challenge possible sur ce genre de modèles, est de parvenir à sortir un masque un peu plus délicat que le cliché du vieillard ridé aux gros traits. Le papier et la technique de l'origami laisse beaucoup de traces, beaucoup de "rides" que l'on sait difficilement cacher (les plis qui descendent des yeux, du nez, de la bouche, obligatoires pour former ces derniers).
La tendance inverse, que j'ai moi-même utilisé par facilité, est de carrément montrer les traits, les exagérer, pour faire un masque de vieux expressif et plein de caractère.
Des techniques de masque plus élaborées, telles celle de Stephan Weber, permettent sans doute de varier le panel d'expression possibles encore plus qu'ici. Mais pour un niveau de difficulté supérieur.
Parmi les invités de cette convention, le franco-germano-belge Gachepapier, un de mes acolytes blogueurs que je connais virtuellement depuis bien longtemps. J'ai assisté à 3 de ses ateliers, et j'ai bien fais car j'en garde des modèles de qualité.
Le modèle qui me restera à l'esprit est sans nul doute son masque. Parce qu'il est simple, didactique. C'est un excellent exercice de créativité et d'expérimentations techniques de pliage sculptural. Une base simple à retenir, puis une longue étape de chipotage libre.
Ce n'est pas un modèle à plier une fois, mais un modèle à plier en série, pour obtenir une variété de visages et d'expressions différentes, pour ajouter ou enlever des détails : barbes, cheveux, col de chemise, tout ce que vous voulez.
Ce masque est mon deuxième essai. Le premier a finit à la poubelle, le troisième était trop ambitieux et pas assez convaincant. Mais je continuerai à m'entrainer sur le bête, c'est sûr !
Un gros challenge possible sur ce genre de modèles, est de parvenir à sortir un masque un peu plus délicat que le cliché du vieillard ridé aux gros traits. Le papier et la technique de l'origami laisse beaucoup de traces, beaucoup de "rides" que l'on sait difficilement cacher (les plis qui descendent des yeux, du nez, de la bouche, obligatoires pour former ces derniers).
La tendance inverse, que j'ai moi-même utilisé par facilité, est de carrément montrer les traits, les exagérer, pour faire un masque de vieux expressif et plein de caractère.
Des techniques de masque plus élaborées, telles celle de Stephan Weber, permettent sans doute de varier le panel d'expression possibles encore plus qu'ici. Mais pour un niveau de difficulté supérieur.
Pas si franco que ça, le gache... ;)
RépondreSupprimerIl y a de l'idée, ça fait plaisir, mais je noterai tout de même 2-3 choses:
- le chipotage n'est pas réellement libre si on a une idée du résultat voulu : je sais que quoiqu'on fasse, presque tout ressemble à un visage, mais on peut réellement dévelloper une systématique autour de ce type de masque;
- la base est conçue pour justement permettre de cacher beaucoup de ces lignes parasites, si on décide de les montrer, ça vaut la peine de leur donner un sens visuel - est-ce que ce sont des rides ? Une barbe ? Etc...
- je travaille la symétrie de ces masques le plus possible lors des premières déformations de la base; si la symétrie est brisée trop tôt, elle devient difficile à contrôler et on se fait dicter le modèle par le papier...
Au plaisir de futures rencontres, virtuelles ou autres :)
Je prends note, maître ! Surtout du dernier point. Merci à toi ^^
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